1) Les années 70: des produits bas de gamme de grande consommation, eg:
Gadgets, chaussures, textiles
2) A partir de la fin des années 80, elle touchent l'électronique grand public, eg:
téléviseurs, magnétoscopes, les appareils électroménagers, l'automobile.
3) Prend de l'ampleur vers le milieu des années 90 qui touche des produits de plus en plus sophistiqués, eg: Télécommunications, matériels informatiques Fait pour quelqu'un, un groupe, de ne pas assurer pleinement son rôle, sa fonction ; absence, faiblesse ou incapacité : À la moindre défaillance, vous perdrez votre poste.
Fait pour un mécanisme, un appareil, de cesser brusquement de fonctionner correctement : Défaillance d'un système de sécurité.
Perte momentanée et brusque d'une faculté, du contrôle de soi, de l'usage d'une fonction : Une défaillance de mémoire.
Perte brusque et momentanée des forces physiques : Avoir une défaillance.
Droit
Non-exécution, au terme fixé, d'une clause, d'une condition, d'un engagement ou d'un contrat.
Économie
Pour une entreprise, dépôt de bilan quelle qu'en soit la cause.
Médecine
Premier degré de la syncope. Le conseil peut formuler des "orientations générales de politique de change" dans le respect de l'ordre économique lexicographique européen (d'abord la stabilité des prix puis, quand celle-ci est établie, le reste des objectifs de politique économique.
C'est la BCE, qui est egalement soumise elle aussi à cet ordre, doit, après avoir été consultée, les mettre en oeuvre.
Alors, non seulement la politique de change apparaît comme ne compétence partagée, mais, à travers elle, c'est l'appréciation de la stabilité effective des prix qui le devient également. Il conviendrait que le dollar se déprécie et que les monnaies asiatiques s'apprécient, non seulement vis-à-vis du dollar, mais aussi par rapport à l'euro.
MAIS les politiques de changes menées dans ces pays empêchent une telle appréciation, car elles privilégient un ancrage plus ou moins rigide à la monnaie américaine et une certaine sous-évaluation, favorable à leur stratégie de croissance tirée par l'exportation.
De sorte que, par défaut, l'ajustement s'opère sur la seule monnaie qui flotte presque librement et dont les autorités souhaitent l'appréciation: l'euro. La monnaie européenne joue ainsi le rôle de soupape des déséquilibres mondiaux. Et l'europe, parce qu'elle est politiquement divisée et faible, subit passivement l'euro fort et les ajustements que les autres zone du monde refusent. Payant au prix fort: perte de compétitivité, et modération salariale obligée: le prix d'une mondialisation dont elle s'interdit de maîtriser les conséquences, alors même qu'elle en a les moyens.