LISTE FINALE PAPP SEGOND VALERIE

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Un chat mis à jeun est placé dans une cage avec un peu de nourriture disposée à l'extérieure. Si le chat manœuvre correctement le loquet de la porte, il peut avoir accès à la nourriture.

Thorndike observe que l'animal explore la cage jusqu'au moment où au hasard de cette exploration, il émet le comportement qui ouvre la porte.

Au cours d'essais successifs, il constate que le temps mis par l'animal pour sortir diminue régulièrement pour arriver à la performance maximum.
Dans cette expériences, il démontre qu'un animal peut apprendre un comportement en fonction des réponses négatives ou positives d'un stimulus neutre (SC).
Dans ce modèle, le stimulus est conditionnel à la différence près qu'il démontre que la réponse de l'animal peut-être également conditionnelle.
Il démontre également que l'apprentissage peut aussi porter sur les délais ou même sur le rythme des réponses. On peut l'observer quand l'animal apprend à appuyer un certain nombre de fois, voir même rythmer ses appuis pour obtenir de la nourriture.
Les trois sources d'inspiration de l'éducation romantique.Neill et son école de Summereil, la psychologie personnaliste de Rogers et Maslow, la dynamique des groupes de Lewin.Le style d'enseignement permissif permet de ...Il favorise le développement de l'autonomie de l'enfant et des fonctions exécutives.Pour Olivier Reboul APPRENDRE c'est ?Acquérir une information, c'est acquérir un savoir-faire, c'est acquérir une compréhension.APPRENDRE d'après Aumont, et Mesnier, (1992) se situe par rapport à trois modes principaux d'appropriation des savoirs ou savoir-faire§- l'apprentissage par modification du comportement sous l'effet d'un conditionnement, §- l'apprentissage par construction progressive des connaissances §- l'apprentissage par traitement de l'informationL'articulation des 3 savoirs c'est ...Une compétenceLe savoir faire c'est ...Savoir utiliser un savoir, appliquer une procédure.Le savoir c'est ...La matière qui doit être logique, la procédure mais pas forcément pouvoir l'utiliser... juste le comprendre.Le savoir être c'est ...C'est quand je sais utiliser les savoirs et les procédures de manière intuitive, en autonomie.Quels sont les paramètres dans la dynamique motivationnelle de Roland Viau qui influencent la motivation de l'élève ?•L'idée que se fait l'enfant de l'utilité de tâche (la tâche a-t-elle du sens pour l'élève?) •Le sentiment que la réussite dépend de lui ou de facteurs extérieurs (sentiment de contrôlabilité). •Sa croyance dans la réussite ou l'accomplissement de la tâche. •Le challenge que revêt la tâche pour lui (ni trop facile, ni trop difficile). •Les croyances de l'enseignant dans les réalisations de ses élèves. •Les résultats obtenus par l'élève.Le style d'enseignement dit classique c'est ?C'est transmettre le savoir ou encore enseigner, c'est transmettre un message ". Cette approche est centrée sur l'enseignant et le savoir et dite transmissive.Le style d'enseignement transmissif c'est ...Une approche empiriste de l'enseignement.L'origine de l'enseignement transmissif, frontal, excathédra...Trouve ses racines dans d'Antiquité avec Aristote, c'est une approche empiriste.Le béhaviorisme est ...une approche empiriste de l'enseignement.Le style d'enseignement incitatifUn style d'enseignement où l'enseignant par ses outils permet à l'enfant d'aller vers le savoir. Cet enseignement est centré sur l'apprenant et le savoir.Le style d'enseignement incitatif est une approche dite ...une approche constructiviste de l'enseignement.Le chercheur qui a créé le constructivismePiagetLe style d'enseignement associatifStyle d'enseignement où la collaboration de l'enfant est au centre du processus d'apprentissage. Le rôle de l'enseignant est secondaire dans les interactions durant l'activité d'apprentissage. Cet enseignement est centré sur les apprenants.Le style d'enseignement associatif est une approche dite ...Une approche socioconstructivisteVygotskyLe chercheur qui est à la base du socioconstructivismeLe style d'enseignement dit permissifStyle d'enseignement qui favorise l'autonomie des enfants, il n'est ni centré sur les apprenants, ni sur la matière, ni sur l'enseignant.Le style d'enseignement permissif est une approche dite ...Approche romantique, libertaire de l'enseignement.Les auteurs et pédagogues fondateurs du mouvement romantique en psychologie et dans l'enseignementNeill, Lewin, Rogers, Maslow.La psychologie personnalisteLa psychologie qui est à l'origine du style d'enseignement permissif appelé aussi romantiqueLa grille THERER-WILLEMARTEn s'inspirant librement des travaux de Blake et Mouton (1964) en matière de management, Therer et Willemart ont tenté d'identifier et de décrire quatre styles d'enseignement représentatifs des pratiques pédagogiques observablesLes 4 styles d'enseignement de la grille Therer-Willemart•Style transmissif, centré davantage sur la matière; •Style incitatif, centré à la fois sur la matière et sur les apprenants; •Style associatif, centré davantage sur les apprenants; •Style permissif, très peu centré tant sur les apprenants que sur la matière.Les critères à analyser qui motivent le choix d'un style d'enseignement plutôt qu'un autre.•La nature des objectifs à atteindre; •Le degré de motivation des étudiants; •La capacité des étudiants. •Le style d'apprentissage des étudiants.Mémoire à court termeSystème mnésique temporaireMémoire à long termeSe compose de la mémoire épisodique, sémantique et procédurale.Des fonctionsLa mémoire a 3 fonctions spécifiques en termes de traitement de l'information.Stocker l'informationUne des trois fonctions de la mémoire, retenir des informations sur le long ou le court terme.Récupérer l'informatonUne des trois fonctions de la mémoire pouvoir se rappeler d'une information qui consiste à reconstruire les connexions de neurones nécessaires.Consolider l'informationUne des trois fonctions de la mémoire qui consiste à consolider une information, à l'automatiser par répétitions (soit par reconstructions successives et continues dans le temps)Le tempsLes informations consolidées dans la mémoire à long terme se modifient avec le temps. On oublie les détails et on synthétise l'information. On a oublié toutes les fois où nous avons vu un lapin mais on a gardé de tous ces souvenirs une image globale du lapin et nous pouvons restituer ses caractéristiques générales (les différentes couleurs qu'il peut avoir, il mange des carotte et de l'herbe, ... )La mémoire se modifie grâce aux flux électriques qui circulent dans les neurones.Les flux électriques modifient les échanges cellulaires au niveau des synapses.L'hippocampe, les hémisphères, le lobe frontal.Les différentes régions du cerveau qui ont une fonction mnésique ... en fait, la mémoire n'est pas un endroit du cerveau, elle est partout, à chaque fois que des neurones se connectent entre-eux.Les systèmes de mémoireLa mémoire est composée de différents systèmes mnésiques : la MCT et la MLT.Le béhaviorismeVers 1910, l'Américain John Watson critique sévèrement cette méthode et propose d'étudier et de ne mesurer que les comportements observables de l'humain d'où le nom de behavior (= comportement dans le langage américain).Les stimulations appelées stimuluscouleur d'un stimulus, liste de mots à apprendre, situations sociales, montre un objet, donner de la nourriture, etc...Le comportement, c'est-à-dire les réactions ou réponsesréponses motrices chez le rat dans un labyrinthe, temps de réponse, dessins et réponses verbales chez l'homme, indicateurs physiologiques, etc...Le père de la psychologie scientifique française : le philosophe Théodule RIBOT.Qui a dit :" La psychologie scientifique sera principalement expérimentale : elle n'aura pour objet que les phénomènes, leurs lois et causes immédiates ; elle ne s'occupera ni de l'âme, ni de son essence car cette question étant dehors de la vérification, elle appartient à la métaphysique "ApprentissageLes béhavioristes imposent ce terme pour remplacer le terme "mémoire" qui était utilisé depuis l'Antiquité.Définition de l'apprentissage dans le conditionnement classiquel'apprentissage c'est la modification systématique du comportement en fonction de l'exercice (répétitif).Le père du conditionnement classiquePavlovLe conditionnement classiqueCe conditionnement est un apprentissage inconscient.SIAcronyme de stimulus inconditionnelRIAcronyme de réponse inconditionnelleSNAcronyme de stimulus neutreSCAcronyme de stimulus conditionnel ou conditionnéRCAcronyme de réponse conditionnelles ou conditionnée.SI + SN ... arc réflexe ... RIJe présente de la viande à un chien en faisant sonner une cloche. Le réflexe naturel de l'animal génère la salivation du chien.SN ... arc réflexe ... RCà force de répétition, quand le chien entend le son de la cloche cela engendre le réflexe de la salivation.Le principe de généralisationPhénomène du conditionnement mis en évidence par les frères Watson.Exemple de la généralisation d'un apprentissage par conditionnement.Une RC générée par un (SI particulier+SN) finit par être produite par tous les SI semblables au SI de base . Comme le fait de subir un SN désagréable chaque fois qu'on me présente un lapin et finir par détester tous les animaux poilus.SkinnerIl démontre qu'un animal peut apprendre un comportement en fonction des réponses négatives ou positives d'un stimulus neutre (SC). Il démontre également que l'apprentissage peut aussi porter sur les délais ou même sur le rythme des réponses.Le conditionnement opéranta mis en évidence par Skinner.La différence entre le conditionnement opérant et classiqueL'un s'inscrit sur un arc réflexe et est inconsciemment appris, l'autre s'inscrit dans un apprentissage conscient.Schéma expérimental du conditionnement opérantLe stimulus discriminatif + la réponse par essais-erreurs + le renforcement positif ou négatif de la réponsesynonyme du conditionnement opérantL'apprentissage instrumentalL'impuissance appriseConditionnement du sujet à subir et non à réagir.L'expérience de Seligman, Maïer et Solomon en 1971Expérience sur deux groupes de chiens où des chiens ne changent pas de cage et restent prostrés sans bouger et subissent le choc électrique alors qu'ils ont la possibilité de changer de cage dans la deuxième phase de l'expérience.Le constructivismeEtude du comportement cognitif chez l'enfant mis en évidence par Piaget. Théorie selon laquelle l'intelligence de l'enfant se construit progressivement selon des stades de développement précis.Le romantismeMouvement de pensée en éducation inspiré de la psychologie personnaliste.C'est Piaget qui a dit cette phraseQui a dit : "La pensée n'est pas simplement une connaissance vraie et absolue mais un instrument."Les activités cognitivesElles sont le fruit du besoin des individus d'ajuster leur schèmes aux contraintes de la réalité selon Piaget.Définition de l'intelligence selon les constructivistes.Elle résulte d'une construction mentale progressive et continue en interaction avec la réalité de notre environnement.Selon les constructivistes et les socioconstructivistes, pour qu'un enfant apprenne quelque chose, il doit aller à sa rencontre dans une démarche ......active.Processus d'apprentissage selon la théorie de PiagetFace à une situation nouvelle, objets nouveaux, problème à résoudre, l'enfant va tenter d'assimiler le nouvel objet à ses schèmes existants. Si l'objet concorde avec les schèmes existants, il y a feedback positif et donc renforcement du schème. Dans le cas contraire, la pensée sera en situation de déséquilibre (conflit cognitif) et il devra tenter d'accommoder le nouvel objet à ses schèmes existants à partir duquel il pourra créer un nouveau schème.Les faiblesses du niveau inférieurPour Piaget, les étapes du développement sont en réalité des paliers successifs d'équilibre visant à corriger les faiblesses du niveau inférieur, ce qui explique les étapes du développement du sensorimoteur au stade opératoire. Au départ la représentation du monde est simple et elle se complexifie de plus en plus au fil des étapes successives du développement de l'intelligence de l'enfant.Ce qui caractérise le passage du stade préopératoire et opératoire dans le développement cognitif selon PiagetAu fur et à mesure du développement cognitif, les enfants finissent par passer des actions aux opérations mentales. Autrement dit, au stade opératoire, les enfants seront capables d'un certain niveau d'abstraction de la pensée. A ce stade, la pensée sera capable d'assimiler de nouveaux schèmes indépendamment du résultat d'une action exercée sur le monde réel mais résultant d'une coordination de schèmes entre eux : la pensée devient logique et autonome du monde réel.Ce que Piaget ne tient pas en compte dans sa théorie du développement de l'intelligence.Le rôle du milieu social dans lequel l'individu grandit.Théorie de l'équilibration majoranteSynonyme du principe d'apprentissage par assimilation et accommodation.Principe pédagogique des constructivistes et socioconstructivistesL'enfant doit pouvoir entrer en contact avec son environnement et les savoirs à enseigner activement.Approche pédagogique inductiveA partir des différentes situations observées on construit avec l'enfant une théorie généralisable.Le déséquilibre cognitifAu moment où j'assimile : quand ce que je vois ne correspond pas à ce que je sais déjà, je suis en déséquilibre. Pour rééquilibrer ce que je pense avec ce que je vois, je dois accommoder.Le conflit cognitifSituation d'apprentissages où l'enfant devra confronter ses prérequis avec un nouvel élément déséquilibrant qu'il devra ensuite accommoder dans le but de créer un nouveau schème.Les dimensions pédagogiques apportées par le socioconstructivisme au constructivisme.Dimensions d'interactions, le travail de verbalisation et de coélaboration.L'apprentissage selon Vygotsky.Résultat des activités liées aux échanges didactiques entre enseignant-élèves et élèves - élèves.Les éléments à apprendre en plus des savoirs selon les socioconstructivistes.Le développement de la capacité à apprendre, à comprendre, à analyser et la maîtrise d'outils d'apprentissage.La vraie direction du développement des individus selon Vygotsky.« la vraie direction du développement ne va pas de l'individuel au social, mais du social à l'individuel »La zone proximale de développementConcept développé par le psychologue russe Lev Vygotsky, désigne la différence entre ce qu'un enfant peut réaliser seul (son niveau actuel de développement) et ce qu'il peut réaliser avec de l'aide d'un enseignant ou d'un autre élève.Les limites de la zone proximale de développement.L'enseignant doit tenir compte des limites de la zone proximale de développement de l'élève quand il définit son objectif d'apprentissage. Cette zone se limite pour chaque savoir entre ce que l'enfant est en mesure d'assimiler puis d'accommoder par rapport à ce savoir.Les 4 points communs entre Vygotsky et Piaget selon Gredler.1.L'établissement d'un cadre théorique pour l'étude des processus psychologiques ; 2. L'identification de différentes structures psychologiques durant le développement ; 3. L'analyse des processus psychologiques requis pour atteindre des niveaux plus élevés de développement ; 4. L'affirmation que le développement psychologique ne procède pas par des petits changements isolés.Les fonctions intellectuelles que l'on peut développer chez l'enfant grâce à la coopération sociale (selon Vygotsky)L'attention volontaire, la mémoire logique, l'abstraction, l'habileté à comparer et différencier.Les 2 notions théoriques communes de Viau et de BrunerLes rôles de la motivation intrinsèque et la valeur attribué à une tâche d'apprentissage par l'élève.Les 3 modes de représentation des connaissances de BrunerLe mode actif, le mode symbolique et le mode iconiqueLes 2 modes d'enseignement selon Bruner1.Le mode fondé sur l'exposition (l'élève est auditeur) ; 2. Le mode fondé sur l'hypothétique (coopération entre l'élève et l'enseignant).Les 3 processus d'apprentissage selon Bruner1. L'acquisition de la nouvelle information ; 2. La transformation de cette information ; 3. L'évaluation.Les 4 techniques pédagogiques préconisées par Bruner1. L'emploi des contrastes ; 2. La formulation d'hypothèses ; 3. La participation (jeu) ; 4. L'éveil de la conscience de l'élève quant aux stratégies d'apprentissage.Les objectifs des outils d'étayages selon Bruner1. Alléger la tâche en la simplifiant pour qu'elle soit à la portée de l'élève. 2. Donner des indices à l'élève qui lui permettront de résoudre l'exercice à réaliser (= signalisation des caractéristiques spécifiques de la tâche). 3. Montrer les possibilités possibles sans pour autant donner les solutions. Soit dans le but de lui montrer qu'il est sur la bonne voie, soit pour l'aider à ajuster sa démarche.Les outils d'étayages selon BrunerC'est tous les éléments, supports didactiques, couleurs, outils à manipuler, forme de l'exercice, la consigne de l'exercice, bref ... tout ce que vous proposez à l'élève lui permettant de résoudre ses exercices seul, en sous-groupe ou avec votre aide.Pédagogie de J. DeweyPédagogie du projetPédagogie de ClaparèdeApprentissage par le jeuPédagogie FreinetApprendre en produisant et en travaillant.Pédagogie MontessoriPédagogie qui propose des outils didactiques dont l'interaction des 5 sens de l'enfant sont très importantesPédagogie de CousinetPédagogie qui met l'accent sur le travail libre en sous-groupeEcoles DecrolyEcole qui met l'accent sur la créativité et les objets culturels.Pédagogie différenciéePédagogie qui propose des outils didactiques, des rythmes d'apprentissage et des contenus d'apprentissage individualisés aux enfants selon leurs besoins.TuringIl formalise le concept d'algorithme et crée une machine qui raisonne comme l'intelligence humaine.Wiener (mathématicien)Il écrit "Cybernétic" : l'informatique et son langage codifié est né.Mc Culloch et PittsIls analysent en termes logiques les activité neuronales dans leur parallélisme avec les connections électroniques des ordinateurs : le cognitivisme est né.Fondement du cognitivismeLa pensée humaine est un système ouvert qui traite les informations reçue de l'environnement extérieur et se régule en fonction d'elle.Le paradigme cognitivisteLe parallélisme entre l'intelligence artificielle et l'intelligence humaine : •Penser c'est traiter de l'information et manipuler des symboles comme un ordinateur. •Ce qui diffère entre intelligence numérique et intelligence humaine : c'est que la pensée humaine traite l'information avant de produire une réponse. Autrement dit, la pensée se structure en modules qui assurent le codage et le stockage de l'information avant de réagir.Définition de l'apprentissage selon les cognitivistesApprendre, c'est intégrer de nouvelles informations dans la mémoire à long terme.Les éléments du processus d'apprentissage dans le modèle de GagnéLa perception, la MCT, la MLT, le générateur de réponse, l'émetteur de réponse, l'environnement.Les indices préalables de structuration ou advanced organizersCe sont des indices proposés dans les supports pédagogiques et les interactions qui permettent à l'élève de trouver des solutions, comprendre l'exercice, etc ... assimilables aux outils d'étayages de Bruner.Les différences entre les éléments stockés dans la mémoire épisodique et ceux stockés dans la mémoire sémantique.Les éléments stockés dans la mémoire épisodiques sont moins généralisables que ceux stockés dans la mémoire sémantiqueProblème de la mémoire épisodique dans l'apprentissage.Quand on lance une activité d'apprentissage, il faut bien attirer l'attention des élèves sur ce qu'ils vont apprendre et la raison (l'objectif) de l'activité qui va suivre afin que l'enfant mobilise son attention sur les bons éléments à mémoriser et ne concentre pas toute sa mémoire sur ce qu'il va vivre personnellement dans cette activité. (exemple de la salade de fruit en maternelle)Modèle de la mémoire sémantique de BrasalouModèle connexionniste qui simule l'apprentissage et le stockage d'informations. Ce modèle repose sur l'idée que les propriétés de chaque objet sont stockées dans des lieux différents mais interconnectées au sein d'un réseau..L'approche méthodologique suggérée par le connexionnisme de Brasalou.L'inductionLes conditions pour qu'un apprentissage soit rapide et résiste au temps1.Les facteurs généraux : la motivation, l'attention, la compréhension, le transfert des apprentissages. 2.Les procédures et modalités. 3.Le traitement des réponses.Les trois niveaux de mémorisation où la focalisation de l'attention est primordiale.L'encodage, la formation des connexions neuronales, leur consolidation et leur stockageLes 4 niveaux de la compréhension.1.Saisir le sens, la signification d'une situation, d'un énoncé ou d'un raisonnement. 2.Identifier les origines et les causes d'une situation ou d'un comportement. 3.Se rendre compte de la portée de ce que je fais, je dis et d'en mesurer les conséquences. Comprendre ce qui est nécessaire pour résoudre un problème, l'évaluer.Les natures des indices de récupération d'une information stockée dans la mémoire.•Indices verbaux •Indices iconiques : images sensorielles et visuelles •Indices thématiques : regroupement sur la base de catégories par déduction. •Indices phonologiques : comme par exemple, retrouver le nom d'une personne ou d'un objet à partir des syllabes qui la composent.Le transfert des apprentissagesIl constitue la finalité de tous les apprentissages >>> il s'agit de pouvoir généraliser une connaissance à des domaines théoriques diverses. Selon Piaget, la généralisation >>> c'est-à-dire l'application d'un schème à des situations différentes, est une composante essentielle du développement cognitif parce qu'il consolide l'apprentissage.Les 5 facteurs à prendre en compte pour favoriser le transfert des apprentissages chez les élèves.COMPRENDRE prendre conscience de ce qu'il connaît déjà ; • établir des liens entre ce qu'il connaît déjà et le nouvel élément à apprendre ; • donner un sens logique à ces apprentissages ; EXERCICES ET DRILL • transférer dans d'autres situations d'apprentissage ou de la vie de tous les jours ; • mémoriser et réorganiser ses connaissances en fonction des similitudes entre les différentes situations (facultés adaptatives par le traitement de l'erreur)Les 4 piliers des apprentissages selon Dehaene S.L'attention L'engagement actif La consolidation Le retour d'information