Vrai / Faux / Ambigu

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VRAI : Le PIB réel est l'agrégat qui va mesurer l'évolution des quantités produites sur un territoire donné et non l'évolution des prix car son but est de neutraliser l'inflation.
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AMBIGUË : (Piège : Si j'épargne plus, alors je consomme moins donc tout ce qui fait augmenter l'épargne comme la propension à épargner, fait baisser la consommation.) Premier point de vue. Si j'épargne plus => investi plus => donc ma fonction d'épargne augmente et j'arriverai d'office à un nouvel Etat Stationnaire ou le stock de capital par tête étant plus élevé me fera acquérir une production (= un revenue) plus élevée. Tout c'est dû au fait que la fonction de production et faites en fonction du stock de capital par tête. Ainsi revenue plus élevée.. donc " potentiellement une consommation plus
VRAI : Les banques collectent de l'épargne par compte courant. Elles utilisent ces dépôts qui ne leur appartiennent pas pour prêter. Elles en gardent un petit nombre pour garder dans les réserves. Les banques gagnent leur vie grâce aux taux d'intérêt des crédits qu'ils accordent. Elles sont ainsi des intermédiaire financiers qui prennent le risque (à la place des ménages) de prêter à des activités industrielle parfois risquée. Ainsi les ménages recevront également une contrepartie de la confiance qu'ils ont accordée aux banquiers et qui se traduira sous forme de taux d'intérêt. Toi le problème est que les Banques doivent au maximum rentabiliser leurs dépôts (en accordant des crédits) mais tout en gardant un certains nombre de fond succeptible d'être récupère par ses déposants. Si banques prêtent trop et que les gens veulent retirer leurs argents et qu'il y en a plus plus confiance dans la banque => faillite!! (ainsi les banques, pour leur sûrêté, elles sont oblige à garde un tx de réserve obligatoire afin d'assurer leurs liquidités).
VRAI : L'hyperinflation est accompagnée d'une croissance excessive de la manse monétaire Mais à l'origine de cette situation se trouve souvent dans Une politique budgétaire excessivement déficitaire. lorsque l'Etat perd la confiance des investisseurs mais garde la possibilité de financer ses dépenses, par création monétaire. Bien que, sur le papier, cette création monétaire puisse n'être qu'une avance sur recettes, en réalité, du fait des délais de perception de l'impôt, les recettes fiscales réelles diminuent avec l'inflation. L'Etat est alors engagé dans la spirale de la création monétaire pour anticiper sur des recettes qui n'arrivent jamais. La crise économique qui a surgi en 2008 a provoqué une très nette détérioration de la situation des finances publiques des pays de la zone euro et une crise budgétaire majeure pour certains d'entre eux. Les pays appelés désormais « PIGS » pour Portugal, Irlande, Grèce et Espagne ont vu leurs déficits budgétaires ainsi que leur dette publique s'envoler pour atteindre des niveaux sans précédent. Certains gouvernements, comme celui de la Grèce en particulier, se sont retrouvés dans une situation très proche de la banqueroute et du défaut. Sans la BCE, la menace d'hyperinflation aurait pu être sérieuse compte tenu de l'importance des déficits publics dans ces économies et de l'option de leur financement monetaire.
FAUX : Lorsque l'état procède à une politique budgétaire expansionniste, cela engendre
l'augmentation des dépenses publiques sur le marché des biens. Par conséquent, la droite IS se déplace vers la droite parce que le revenu a augmenté. Sur le marché de la Monnai, la demande de Monnaie à des fins de transation augment donc la demande de monnai est exedentaire. On va observer une augmentation du taux d'intérêt afin de décourage la demande de Monnai et pour qu'elle retourne à l'équilibre sur le marché de la Monnaie.
FAUX : Contra-cyclique : le fait qu'une variable va être corrélée négativement avec une variable. Dans le modèle d'offre agrégée avec salaire nominal rigide, la production augmente (les entreprises vont alors embaucher) lorsque le salaire diminue, le salaire est donc contra-cyclique. Dans le modèle WS-PS : le salaire augmente avec la production, il est pro-cyclique
FAUX : A travers l'un des trois modes de calcul du PIB on peut répondre à la question. Optique de la demande finale (ex. avec le chocolat suisse): Le chocolat est importé, c'est-à-dire que dans le calcul du PIB on soustrait à la BOC cette importation, or le PIB suisse augmente car ses exportations ont augmentes. Par contre si le détaillant augmente ses prix alors il crée de la valeur ajoutée en Belgique et augmente ainsi le PIB Belge: dans ce cas l'affirmation est vraie, car la demande finale s'annule (la hausse des prix compense la perte due aux importations) et le solde finale est donc nul, mais de la valeur ajoutée est néanmoins crée.
FAUX : Il se mesure sur une période donnée donc c'est un flux. Autrement dit le PIB mesure le flux de richesse d'un pays sur un intervalle de temps.Le PIB mesure le stock de la richesse d'un pays.AMBIGU (Peut-être VRAI) : Cela dépend si on fonctionne à prix courants ou constants ( donc si il s'agit du PNB réel ou nominal). Sinon c'est FAUX car le PNB est souvent calcule à prix courants donc on ne sait pas si c'est l'effet des prix ou des quantités qui varient.Le PNB corrige les effets de l'évolution des prix nationauxFAUX : Le déflateur du PIB est le rapport entre PIB nominal d'une année et le PIB réel de cette année. Le déflateur mesure l'évolution des prix des biens et services produits intérieurement, or les importations n'ont pas d'influence sur le déflateur du PIB.Le déflateur du PIB est sensible aux prix des produits importés.VRAI : Si, par exemple, on est recruté mais qu'on commence à travailler ultérieurement (au moins 15 jours après) alors on est considéré comme chômeur au sens du BIT. C'est une implication du chômage frictionnel, qui émane du fait que lorsqu'on quitte un travail et on en trouve un autre il faut un peu de temps « d'ajustement » pour que tout soit en règle et qu'on puisse commencer à travailler.On peut avoir trouvé un emploi et être chômeur (en même temps) au sens du BIT (Bureau International du Travail).VRAI : L'épargne est proportionnel au revenu. S= Y - C, or C = Y - S Donc, la consommation C est fonction du revenu YDans le modèle de Solow la consommation dépend du revenu.VRAI : Si on augmente le taux d'épargne on va pouvoir investir plus Comme la production par tête est fonction du capital, le capital augmente grâce à l'investissement et le revenu augmente.Dans le modèle de Solow une hausse du taux d'épargne provoque toujours une hausse du revenuFAUX : Lorsque la PTF augmente, la production augmente aussi à court terme, alors qu'elle est à l'état stationnaire à long terme. Le revenu Y augmente alors. La propension marginale à consommer est constante, ce qui implique que la consommation augmente toujours.Dans le modèle de Solow, en présence d'une augmentation de la productivité totale des facteurs (PTF), la consommation peut soit augmenter soit diminuer, en fonction de la valeur du taux d'épargne.FAUX : Il y a une façon de ralentir la diffusion: les brevets en sont un exemple (légale). Le secret industriel en est un autre: Coca-Cola garde sa recette secrète et pousse ses adversaires à essayer des nouveau produits et se fait ainsi imiter. Cependant cette imitation amène à l'innovation. L'innovation se maintient même sans qu'il y ait de brevets car d'autres systèmes pour se faire existent. Un brevet permet à une entreprise d'employer ses connaissances sans que d'autres le fassent.Si les brevets n'existaient pas il n'y aurait pas d'innovation.VRAI : Le modèle de solow dentif/evolution de facteurs de production. Dans ce modèle on regarde tras peu la demande qui reflète les capacités de production. On a une hypothèse que l'épargne est proportionnelle au revenu. On suppose également que l'économie est entièrement concurrentielle. Or que tous les marchés sont concurrentiels et qu'on peut substituer le capital avec le travail. L'épargne est toujours égale à l'investissement: on est au plein emploi.Le modèle de Solow est un modèle de plein emplat.FAUX : Le modèle de F. Modigliani prévoit que les consommateurs puissent gérer leur revenu à partir de leur jeunesse et jusqu'à leur retraite. Il y a une relation très faible entre revenu courant et consommation actuelle. Le consommateur prévoyant va en fait garder une consommation constante tout en tenant compte de son épargne.Le modèle de cycle de vie prévoit que le revenu courant n'a aucun effet sur la consommation couranteVRAI : Le ratio dette/PIB évolue grâce à deux facteurs: le numérateur (dette) dépend du taux d'intérêt tandis que le dénominateur (PIB) dépend du taux de croissance. Lorsqu'un État dégage un excédent budgétaire par exemple, le ratio augmente.Un État peut voir son ratio dette/PIB augmenter alors même qu'il dégage un excédent budgétaireFAUX : Il repose sur une hypothèse de sous-emploi plutôt. La production s'ajuste sur la demande car la demande est le coté court du marché; ce qui signifie qu'il y a des capacités de production inutilisées or on est en sous-emploi.Le diagramme à 45°se repose sur une hypothèse de p lein emploiVRAI : Un multiplicateur positif engendra d'office une augmentation du PIB dès que l'on dépensera de l'argent dans les dépenses publiques.Un multiplicateur positif (>0 ) signale que la politique budgétaire en vigueur est efficace.FAUX : Les métaux précieux n'ont désormais plus aucune valeur monétaire (cela a été possible grâce à la confiance des gens en la monnaie fiduciaire ) et, de plus, les banques ne détenaient pas assez de métaux précieux en rapport avec l'argent en circulation.La valeur de la monnaie fiduciaire est due aux stocks de métaux précieux détenus par les banques centrales.FAUX : La BCE va émettre des euros en contre partie d'une dette qu'elle va contracté et ainsi la masse monétaire va augmenter.Lorsque la BCE accorde une facilité marginale de prêt, elle réduit la masse monétaire en circulation.FAUX : En période d'hyperinflation la vitesse de circulation de la monnaie est constante et a atteint son maximum et pas son minimum. Les gens visent en fait à se débarrasser de leur monnaie car la monnaie perd de la valeur très vite et donc garder de la monnaie liquide n'est pas intéressant car le cout d'opportunité de détenir de la monnaie diminue. Donc on peut moins acheter avec le même montant de monnaie par rapport à un période d'inflation normale.En période d'hyperinflation, la vitesse de circulation de la monnaie peut être considérée comme constant, parce qu'elle atteint un minimumVRAI : Le motif de précaution est un motif de détention de la monnaie qui vient du fait qu'on ne sait pas tout le temps exactement qu'est ce qu'on va acheter et à combien. Les agents rationnels vont comparer le cout d'opportunité de détenir de la monnaie et la possibilité de dépenser. Le cout d'opportunité de détenir de la monnaie est en fait le taux d'intérêt, or on peut affirmer que la demande de monnaie est une fonction décroissante du taux d'intérêt.La demande de monnaie à des fins de précaution est une fonction du taux d'intérêt.VRAI : En fait le taux d'intérêt a atteint sa valeur minimale car il existe un seuil du taux d'intérêt que l'on ne dépassera pas et à ce taux d'intérêt, tout le monde vend ses obligations. La demande de monnaie est alors infiniment élastique et est représentée par une droite horizontale.En situation de trappe à liquidité, la demande de monnaie devient infiniment élastique au taux d'intérêt.FAUX : La courbe IS est l'ensemble des couples revenus/ taux d'intérêt qui assure l'équilibre sur le marché des biens. La demande de monnaie n'a en fait aucun effet sur le marché des biens et donc, par conséquent sur la courbe IS.La pente de la courbe I dépend de la sensibilité de la demande de monnaie au taux d'intérêt.VRAI : La courbe LM est l'ensemble des couples revenus/ taux d'intérêt qui assure l'équilibre sur le marché de la monnaie. Sa pente tend vers 0 en situation de trappe à liquidité, est positive dans le cas standard et tend vers +∞ dans le cas classique.La pente de la courbe LM n'est pas constante.FAUX : En situation de trappe à liquidité, le taux d'intérêt i est minimum. Si la demande de monnaie à des fins de transactions augmente, le taux d'intérêt i augmente. Mais dans ce cas-ci, le taux d'intérêt ne peut pas augmenter donc cet effet se limite à celui de l'effet multiplicateur et donc la politique budgétaire est très efficace.La politique budgétaire est peu efficace en situation de trappe à liquidité.VRAI : Selon la théorie du salaire d'efficience, lorsqu'une entreprise propose un salaire nominal plus élevé que le salaire nominal qui assure l'équilibre sur le marché du travail elle maximise ses profits.Le salaire minimum doit être supérieur au salaire d'équilibre concurrentiel pour avoir un effet.FAUX : Du chômage involontaire existe lorsque le seul chômage observé sur le marché du travail est de type frictionnel ou dû aux différences de caractéristiques entre les compétences offertes par les travailleurs et les compétences demandées par les employeurs. C'est ce qu'on appelle le chômage de plein emploi.Sur un marché du travail concurrentiel et homogène, il n'y aurait pas de chômage.